Votre panier est actuellement vide !
Stéphane Bellat signe à nouveau un petit bijou sur fond de seconde guerre mondiale et d’affaire criminelle. Le Syndrome d’Hildegarde a tous les atouts pour vous séduire et vous faire trembler.
Après La Chambre d’Hannah et l’Etoile des anges, Stéphane Bellat signe cette fois-ci un thriller sur fond de France occupée.
Le syndrome d’Hildegarde s’attarde sur une maladie encore méconnue à l’époque : la schizophrénie.
Au mois de mars 1944, une jeune femme est découverte rue Lesueur à Paris. Elle a été égorgée au fond d’une cave et sans mobile apparent. L’inspecteur Julien Vivier et son comparse Axel Rumard sont alors chargés de l’enquête.
Tous deux appartiennent à la célèbre brigade criminelle, la « Crim » au 36 Quai des Orfèvres. En ces temps très troublés, ils s’orientent vers un règlement de compte entre nazis et la résistance. Seule une jeune femme a été aperçue sur les lieux du crime. Qui est-elle ? Pourquoi et par qui la jeune assistante sociale a-t-elle été assassinée ?
Quelques jours plus tard tout s’accélère et prend des proportions jusque-là inconnues. Au 21 de la même rue, un charnier est découvert dans un immeuble appartenant au docteur Marcel Petiot. Ainsi débute un parcours tortueux qui va conduire Julien Vivier aux confins de la folie.
Aujourd’hui à la retraite, Stéphane Bellat est un historien spécialisé de la seconde guerre mondiale, après une carrière dans l’Armée de Terre et la Gendarmerie.
Passionné d’histoire de littérature, il a écrit une cinquantaine d’articles historiques consacrés à la seconde guerre mondiale pour des magazines thématiques. Puis, il écrit son premier roman, « Les Passagers » perdus (Publié tout d’abord au Québec) suivi quelques années plus tard par La Chambre d’Hannah (EDL), salué par la critique et l’Etoile des Anges (EDL).
Dans son dernier livre, Stéphane Bellat invite ses lecteurs à l’accompagner encore une fois à travers une époque très particulière de notre histoire. Si l’occupation a engendré des actes de bravoures authentiques, elle a aussi permis à des individus néfastes d’émerger au grand jour.
Laisser un commentaire